Je fais mal mes devoirs. Il faut bien admettre qu’en tant que pseudo-blogueur de la chose sartoriale, je devrais m’intéresser à chaque nouvelle maison qui se crée, être à l’affût des nouveaux acteurs qui viennent révolutionner le marché. Oui, mais non. D’une part parce que je suis relativement feignant, d’autre part parce que pour peu que la marque me plaise, je dois trouver du budget pour tester. Or, n’étant pas financé par un généreux mécène, les choses prennent leur temps. Tout ça pour dire quoi ? Il faut bien l’admettre, quand j’ai commencé à voir des posts Instagram sur Malfroid je n’ai pas prêté autant d’attention qu’il aurait fallu. L’erreur… Parce que finalement, des nouvelles maisons pour lesquelles j’ai eu un vrai coup de cœur ces dernières années, il n’y en a pas eu tant que ça (je suis à la fois difficile et snob, ça n’aide pas). Alors quand Victor, le co-fondateur de Malfroid m’a contacté, vu que nous avions une bonne connaissance en commun, pour me présenter sa marque, il m’a bien fallu admettre, qu’il y a quand même des univers sympathiques à découvrir. Mais reprenons les choses depuis le début.